Je suis retourné au Brésil à la mi-janvier.
Vous le savez, j'aime le Brésil, j'aime au Brésil, mais je me pose une question, pourquoi les brésiliens ont construit des villes sur les endroits les plus escarpés du pays ?
Je l'ai déjà dit, il faut se mettre dans un fauteuil roulant pour se rendre compte de la difficulté de circuler dans les rues de, de... Sao Paulo, par exemple...
Mais je pourrais vous parler de Salvador de Bahia, Belo Horizonte ou Uberlandia. Rio est un cas à part, si on est assez fortuné pour habiter sur le littoral.
Donc, pour moi, pas moyen de piquer ma crise et de décider d'aller faire le tour du pâté de maisons, seul, impossible !
Et puis le fric, bazar, le pognon, c'est qu'il en faut du fric pour vivre dans une ville comme Sao Paulo. Les appartements coûtent cher, car en plus du loyer, proprement dit, il faut rajouter le prix du gardiennage et autres frais, qui font doubler la somme. Moi pauvre petit retraité à roulettes, au bout de trois mois, je suis obligé de lever le pouce...
Pour moi c'est un échec, je ne peux pas m'installer au Brésil.
Dans la vie de tous les jours, ma liberté, c'est ma voiture. Sans ma voiture, je ne peux rien faire. A Paris, elle est mon bureau, parfois ma chambre, c'est dans son habitacle que je reçois.
Pratique et en même temps, je rends service à mes invités qui sont toujours curieux de voir la dextérité avec laquelle je conduis juste avec les mains.
Lorsque je me renseigne, pour acheter une voiture à Sao Paulo, déjà le prix des automatiques est au-dessus des autres voitures, mais surtout, je suis obligé de repasser mon permis de conduire, alors que si j'étais valide, je pourrais obtenir un permis brésilien.
Là, c'est le coup de grâce, car si je baragouine en portugais, d'ailleurs ils disent en m'entendant, que je parle " portignol ", un mélange de portugais et d'espagnol. Impossible de passer rapidement ce fichu permis.
Adieu mes rêves de vie brésilienne !
vendredi 31 décembre 2010
jeudi 30 décembre 2010
L'heure des bilans !
Hé oui, nous voilà à l'heure des bilans et peut-être aussi à l'heure des bonnes résolutions.
Voyons les bilans pour cette année 2010.
En janvier, je suis parti faire un petit tour au Maroc.
Vous savez que j'ai pas mal voyagé depuis que je vis en fauteuil.
Là, à Agadir, j'ai connu le pire de tous les accueils.
Non, je n'ai pas beaucoup attendu pour me faire descendre par quatre bras dans mon propre fauteuil. Très bien !
C'est à peine posé sur le tarmac, qu'un des types m'a dit en m'élançant :
" Tu vas te débrouiller ? "
Il n'a jamais entendu ma réponse car il m'a poussé assez loin pour ne pas l'entendre.
Et me voilà, sur la piste d'atterrissage à essayer de me repérer pour savoir où est la sortie. Après un bon quart d'heure de roulette, je vois une porte éclairée. Je rentre, heureusement, il ne reste que quatre personnes, je suis le dernier de la file.
Après la douane, je vois mon pauvre bagage tourner en solitaire sur le tapis. Personne à qui m'adresser pour m'aider, je hurle pour que quelqu'un m'aide. Un homme en uniforme vient vers moi, le doigt sur la bouche et faisant :
- Chuttt !!!
- Si vous voulez vous plaindre, il faut vous adressez à la compagnie d'aviation, nous ne sommes pas responsable.
Et il tourne les talons.
Je suis furieux et lui crie qu'il pourrait au moins me donner mon bagage qui passe pour la troisième fois devant moi.
Enfin de compte c'est un balayeur qui a pitié de moi et vient me sortir mon bagage.
Pour le retour, c'est à Orly, que je vais attendre des heures et des heures le camion pour me ramener à l'aéroport.
Ah, ce n'est pas demain la veille que je reprendrais un vol à bas prix.
Voyons les bilans pour cette année 2010.
En janvier, je suis parti faire un petit tour au Maroc.
Vous savez que j'ai pas mal voyagé depuis que je vis en fauteuil.
Là, à Agadir, j'ai connu le pire de tous les accueils.
Non, je n'ai pas beaucoup attendu pour me faire descendre par quatre bras dans mon propre fauteuil. Très bien !
C'est à peine posé sur le tarmac, qu'un des types m'a dit en m'élançant :
" Tu vas te débrouiller ? "
Il n'a jamais entendu ma réponse car il m'a poussé assez loin pour ne pas l'entendre.
Et me voilà, sur la piste d'atterrissage à essayer de me repérer pour savoir où est la sortie. Après un bon quart d'heure de roulette, je vois une porte éclairée. Je rentre, heureusement, il ne reste que quatre personnes, je suis le dernier de la file.
Après la douane, je vois mon pauvre bagage tourner en solitaire sur le tapis. Personne à qui m'adresser pour m'aider, je hurle pour que quelqu'un m'aide. Un homme en uniforme vient vers moi, le doigt sur la bouche et faisant :
- Chuttt !!!
- Si vous voulez vous plaindre, il faut vous adressez à la compagnie d'aviation, nous ne sommes pas responsable.
Et il tourne les talons.
Je suis furieux et lui crie qu'il pourrait au moins me donner mon bagage qui passe pour la troisième fois devant moi.
Enfin de compte c'est un balayeur qui a pitié de moi et vient me sortir mon bagage.
Pour le retour, c'est à Orly, que je vais attendre des heures et des heures le camion pour me ramener à l'aéroport.
Ah, ce n'est pas demain la veille que je reprendrais un vol à bas prix.
mercredi 29 décembre 2010
Derniers jours !
Ce sont les derniers jours de l'année 2010 et comme tous les ans on va se dire qu'on ne l'a pas vu passé celle-là. Enfin, le plus triste, c'est que ça nous fait une année de plus.
Hé, vous avez lu ça ?
Nous, les natifs de la fin de l'année, on gagne moins d'argent que les autres. Ah, ben tout s'explique, c'est pour ça que j'ai été fauché toute ma vie, sois disant que j'aurais dû attendre la prochaine année pour naitre. Entre nous, je trouve ça tiré par les cheveux. Moi qui suit né un 11, il aurait fallu que je reste 21 jours de plus au creux de ma tendre maman pour avoir une chance de naitre l'année suivante.
Vous le savez peut être, j'ai fait une formation pour le doublage, donc je cherche du travail, on dit que c'est un milieu très dur, pas ouvert du tout. Je sais, par exemple, que pour réussir, il faut être un peu nécrophile, en clair, être au courant de ceux qui passent l'arme à gauche pour proposer ses services. J'ai ainsi appris la mort de Bernard-Pierre Donnadieu qui était la voix de Dennis Hopper, Kurt Russell et autres. Moi, je me souviens de lui sur Le Retour de Martin Guerre. Nous sommes nombreux à avoir des souvenirs de ce film, tourné en partie à Alas, Balagué. Les poses en compagnie des vieux de l'hospice de St Girons qui chiquer ou priser leur tabac, des gueules incroyables et parlant un patois moyenâgeux...
Mais v'la qu'ça va faire un bon moment, tout ça, on va pas s'attarder sur le passé, on va finir par mouiller son mouchoir.
Ah si, une dernière petite, pour la route, je vous conseille de lire dans Libé du 27 décembre, un inédit de Winston Churchill. On se dit qu'un type qui écrit comme ça, ne peut pas être un abrutit, il y a un poète, un lunaire qui parfois se cache derrière un cigare !
Hé, vous avez lu ça ?
Nous, les natifs de la fin de l'année, on gagne moins d'argent que les autres. Ah, ben tout s'explique, c'est pour ça que j'ai été fauché toute ma vie, sois disant que j'aurais dû attendre la prochaine année pour naitre. Entre nous, je trouve ça tiré par les cheveux. Moi qui suit né un 11, il aurait fallu que je reste 21 jours de plus au creux de ma tendre maman pour avoir une chance de naitre l'année suivante.
Vous le savez peut être, j'ai fait une formation pour le doublage, donc je cherche du travail, on dit que c'est un milieu très dur, pas ouvert du tout. Je sais, par exemple, que pour réussir, il faut être un peu nécrophile, en clair, être au courant de ceux qui passent l'arme à gauche pour proposer ses services. J'ai ainsi appris la mort de Bernard-Pierre Donnadieu qui était la voix de Dennis Hopper, Kurt Russell et autres. Moi, je me souviens de lui sur Le Retour de Martin Guerre. Nous sommes nombreux à avoir des souvenirs de ce film, tourné en partie à Alas, Balagué. Les poses en compagnie des vieux de l'hospice de St Girons qui chiquer ou priser leur tabac, des gueules incroyables et parlant un patois moyenâgeux...
Mais v'la qu'ça va faire un bon moment, tout ça, on va pas s'attarder sur le passé, on va finir par mouiller son mouchoir.
Ah si, une dernière petite, pour la route, je vous conseille de lire dans Libé du 27 décembre, un inédit de Winston Churchill. On se dit qu'un type qui écrit comme ça, ne peut pas être un abrutit, il y a un poète, un lunaire qui parfois se cache derrière un cigare !
mardi 28 décembre 2010
Marre de la neige !
J'ai décidé de reprendre mon blog !
Après tout, je suis en voyage aussi ici en France et c'est un bon moyen pour exprimer ce que je pense de la situation.
Alors par exemple, je confirme le titre du mot de ce jour, " Marre de le neige ! ".
Oui, je sais, nous sommes en hiver, c'est la saison idéal pour aller se les geler dans les stations de spots d'hiver, de plus nous sommes dans la période des fêtes de fin d'année, du coup, il faut bien dépenser toute cette énergie emmagasinée autour de la table et les enfants sont heureux de faire un bonhomme de neige...
Pourquoi pas ?
Hé bien je vais vous le dire !
En premier, il fait froid, terriblement froid et je déteste le froid, c'est même la raison pour laquelle depuis dix ans, je m'enfuis de l'autre côté de la planète, en Inde ou au brésil, pour échapper à ce froid.
Comme il fait froid et que la neige est assez abondante, les routes ne sont pas praticables. Je ne sais pas si vous avez remarquer, mais nous avons un président qui nous a dit qu'il allait réduire de moitié la quantité de fonctionnaires. S'il n'a pas tenu ses promesses sur d'autres choses (réduction de la dette), pour les agents de la DDE, il a tenu parole. Résultat, les petites routes autrefois déneigées pendant la nuit, sont impraticables tant qu'il n'y a pas eu de redoux.
En second, les animaux sont malheureux, les oiseaux volent au raz de la neige, à la recherche du brin d'herbe, les rapaces cherchent le moindre souriceau, qui lui, se planque au fond de son trou, les chevaux, laissés dehors par des maîtres sans coeur, labourent de leurs sabots la neige pour arracher un peu de nourriture.
Comme un hasard, alors que j'écris, le facteur me dépose Libération, je tombe sur le " rebond " de Christophe Bouton, éminent professeur de philo à Bordeaux, qui trouve que vraiment l'homme est devenu intolérant avec la nature et bla bla bla !
Moi, ce n'est pas contre la nature que j'en ai, c'est contre nos hommes politiques qui se disent responsables mais qui laissent des villages entiers se démerdaient seuls...
Après tout, je suis en voyage aussi ici en France et c'est un bon moyen pour exprimer ce que je pense de la situation.
Alors par exemple, je confirme le titre du mot de ce jour, " Marre de le neige ! ".
Oui, je sais, nous sommes en hiver, c'est la saison idéal pour aller se les geler dans les stations de spots d'hiver, de plus nous sommes dans la période des fêtes de fin d'année, du coup, il faut bien dépenser toute cette énergie emmagasinée autour de la table et les enfants sont heureux de faire un bonhomme de neige...
Pourquoi pas ?
Hé bien je vais vous le dire !
En premier, il fait froid, terriblement froid et je déteste le froid, c'est même la raison pour laquelle depuis dix ans, je m'enfuis de l'autre côté de la planète, en Inde ou au brésil, pour échapper à ce froid.
Comme il fait froid et que la neige est assez abondante, les routes ne sont pas praticables. Je ne sais pas si vous avez remarquer, mais nous avons un président qui nous a dit qu'il allait réduire de moitié la quantité de fonctionnaires. S'il n'a pas tenu ses promesses sur d'autres choses (réduction de la dette), pour les agents de la DDE, il a tenu parole. Résultat, les petites routes autrefois déneigées pendant la nuit, sont impraticables tant qu'il n'y a pas eu de redoux.
En second, les animaux sont malheureux, les oiseaux volent au raz de la neige, à la recherche du brin d'herbe, les rapaces cherchent le moindre souriceau, qui lui, se planque au fond de son trou, les chevaux, laissés dehors par des maîtres sans coeur, labourent de leurs sabots la neige pour arracher un peu de nourriture.
Comme un hasard, alors que j'écris, le facteur me dépose Libération, je tombe sur le " rebond " de Christophe Bouton, éminent professeur de philo à Bordeaux, qui trouve que vraiment l'homme est devenu intolérant avec la nature et bla bla bla !
Moi, ce n'est pas contre la nature que j'en ai, c'est contre nos hommes politiques qui se disent responsables mais qui laissent des villages entiers se démerdaient seuls...
samedi 16 janvier 2010
Passage en France !
Un mois en France, quelle galère !
J'ai eu le vrai bonheur de faire visiter Paris à une brésilienne. Nous avons été au musée du Louvres le lendemain de Noël. Une foule incroyable pour cette période de fête et moi, en fauteuil, j'ai pu lui faire profiter de mon coupe-file avec le musée gratuit pour nous deux.
Le musée du Louvres est majestueux et avec Anita, nous avons visité la peinture hollandaise à toute allure, puis la peinture italienne, très sanglante et surtout christique, et la peinture française avec Napoléon en large, en long, pendant la guerre, après la guerre...
Pour moi, le Louvres c'est la guerre, du sang, de la misère, les Evangiles, du sang, de la misère...
Le lendemain un autre musée, le musée d'Orsay, ah c'est un vrai bonheur, c'est vert, c'est chatoyant, c'est champêtre, c'est humain. Alors, comme c'est Van Gogh et Gauguin qui sont les vedettes, il y a foule. Comme la veille, j'étonne Anita en doublant tout le monde. Je suis vivement déçut car il m'est impossible de voir les tableaux de mon ancêtre Gustave Moreau, c'est le seul palier inaccessible aux fauteuils. Je n'ai vu qu'une seule scène sanglante dans ce musée, c'est un soldat arabe, pendant la conquête de l'Espagne, essuyant son sabre après avoir coupé la tête d'un soldat espagnol.
Après ces quelques jours à Paris, je suis parti en Corse, je vous passe la mauvaise humeur des hôtesses corses, je vous passe les tirs de mitraillettes la nuit de la Saint Sylvestre, je vous passe le nationalisme ordinaire des corses et hop, me voilà de retour sur le continent.
En remontant, je m'arrête pour manger, à Isadrome, pas de chance il y a une panne de chauffage, je commande un tagine, en me disant j'aurais plus chaud après. Mais le tagine n'est pas du tagine, tout juste un vague ragout de mouton mais je paie plein pot, les boules...
Le 8 janvier, je me suis retrouvé à l'Université Paris 8, pour fêter la retraite d'une amie, Mireille. Je retrouve beaucoup de vieux amis dont Remy Kolpa Kopoul, mais aussi et je dirais surtout Shita.
Le 9 ce fut vers le Maroc que mon fauteuil m'a porté, j'ai retrouvé la petite famille Bodis mais je dois vous dire, amis en fauteuil, à Agadir, j'ai été porté pour descendre de l'avion, sur le tarmac, le gars me dit, bon tu te débrouilles ? Je réponds par l'affirmatif, sans savoir ce que cela veut dire. Je le comprends vite, il me pousse un bon coup et me voilà seul pour traverser l'aéroport et trouver la sortie. Quand je vois les guichets avec la douane, je prends la queue et je passe en dernier. J'ai demander à quelqu'un pour avoir mon bagage. Personne de l'aéroport ne m'a aidé.
Pour le retour, encore plus fort, il a fallut plus d'une heure pour que les équipes du sol, trouvent un camion et me fasse sortir de l'appareil.
Dans quelques jours je serais de nouveau au Brésil...
J'ai eu le vrai bonheur de faire visiter Paris à une brésilienne. Nous avons été au musée du Louvres le lendemain de Noël. Une foule incroyable pour cette période de fête et moi, en fauteuil, j'ai pu lui faire profiter de mon coupe-file avec le musée gratuit pour nous deux.
Le musée du Louvres est majestueux et avec Anita, nous avons visité la peinture hollandaise à toute allure, puis la peinture italienne, très sanglante et surtout christique, et la peinture française avec Napoléon en large, en long, pendant la guerre, après la guerre...
Pour moi, le Louvres c'est la guerre, du sang, de la misère, les Evangiles, du sang, de la misère...
Le lendemain un autre musée, le musée d'Orsay, ah c'est un vrai bonheur, c'est vert, c'est chatoyant, c'est champêtre, c'est humain. Alors, comme c'est Van Gogh et Gauguin qui sont les vedettes, il y a foule. Comme la veille, j'étonne Anita en doublant tout le monde. Je suis vivement déçut car il m'est impossible de voir les tableaux de mon ancêtre Gustave Moreau, c'est le seul palier inaccessible aux fauteuils. Je n'ai vu qu'une seule scène sanglante dans ce musée, c'est un soldat arabe, pendant la conquête de l'Espagne, essuyant son sabre après avoir coupé la tête d'un soldat espagnol.
Après ces quelques jours à Paris, je suis parti en Corse, je vous passe la mauvaise humeur des hôtesses corses, je vous passe les tirs de mitraillettes la nuit de la Saint Sylvestre, je vous passe le nationalisme ordinaire des corses et hop, me voilà de retour sur le continent.
En remontant, je m'arrête pour manger, à Isadrome, pas de chance il y a une panne de chauffage, je commande un tagine, en me disant j'aurais plus chaud après. Mais le tagine n'est pas du tagine, tout juste un vague ragout de mouton mais je paie plein pot, les boules...
Le 8 janvier, je me suis retrouvé à l'Université Paris 8, pour fêter la retraite d'une amie, Mireille. Je retrouve beaucoup de vieux amis dont Remy Kolpa Kopoul, mais aussi et je dirais surtout Shita.
Le 9 ce fut vers le Maroc que mon fauteuil m'a porté, j'ai retrouvé la petite famille Bodis mais je dois vous dire, amis en fauteuil, à Agadir, j'ai été porté pour descendre de l'avion, sur le tarmac, le gars me dit, bon tu te débrouilles ? Je réponds par l'affirmatif, sans savoir ce que cela veut dire. Je le comprends vite, il me pousse un bon coup et me voilà seul pour traverser l'aéroport et trouver la sortie. Quand je vois les guichets avec la douane, je prends la queue et je passe en dernier. J'ai demander à quelqu'un pour avoir mon bagage. Personne de l'aéroport ne m'a aidé.
Pour le retour, encore plus fort, il a fallut plus d'une heure pour que les équipes du sol, trouvent un camion et me fasse sortir de l'appareil.
Dans quelques jours je serais de nouveau au Brésil...
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