mardi 2 octobre 2012

Revenir sur terre après une longue absence, voilà ce qui m'arrive, donc il faut se refaire à la terre ferme. Début de l'automne à Boulogne Billancourt, retrouver ses marques et vous racontez la suite de l'histoire.

vendredi 23 mars 2012

Boulogne Billancourt !

Coucou, oui je bouge encore, enfin j'ai trouvé un appartement à Boulogne, un appartement tout petit mais super cool, je m'y sens bien.
Les voyages ne sont pas prévus au programme vu l'état de mon compte en banque...
Donc juste des nouvelles de temps en temps.

jeudi 7 avril 2011

Quelle nouvelles ?

Toujours à la recherche d'un appartement sur Paris ou alentour.

Quelle nouvelles ?

Toujours à la recherche d'un appartement sur Paris ou alentour.

mardi 11 janvier 2011

Premiers jours de l'année !

En m'approchant du rayon librairie du Super U du coin, j'ai eu comme un deuxième sens qui s'est allumé et je l'ai vu de loin ce croquignolet " Quatrième chronique de Nicolas 1er ". Ah que c'est réjouissant de lire pareil ouvrage où l'on voit N. le névrosé !, au jour le jour, lui et sa cour. En même temps c'est inquiétant, mais si cela nous pousse à être créatif, alors participons à cette révolte, tout au moins, soyons vigilant.
Je pense que j'ai lu, pour la première fois le Si Yeou Ki, l'hiver 1979-80, dans la montagne, c'est Irène Merlin, qui me l'avait confié pendant quatre à six mois, pour m'ouvrir plus grandes, les portes de la spiritualité extrême-orientale.
Le Si Yeou Ki est un roman bâti autour d'un fait historique : le voyage que fit dans l'Inde le moine bouddhiste chinois Hiuan Tsang pour en rapporter les livres sacrés du bouddhisme. Il quitta la Chine 624 et il rentra en 645...
Je m'y replonge et je retrouve cet amour de la Chine dont j'ai voulu me couper. Je suis en demande sur la Chine. J'aimerais connaître des maîtres taoïstes, je veux bien faire une formation, pour la langue, pour la nourriture, pour la culture millénaire, pour la connaissance des différentes ethnies et connaitre leurs besoins aussi.
Maintenant, je suis comédien doubleur. C'est mon métier, j'ai décider de monter ou de participer à un projet théâtrale. Il me faut un rôle trouver assis. Aidez-moi !!!!

samedi 1 janvier 2011

BONNE ET HEUREUSE ANNEE 2011 !

Et hop, les aiguilles de l'horloge ont tourné, nous voilà dans une autre année, dans une autre décennie.
Mais rien a changé ou imperceptiblement, comme d'une seconde à l'autre. En fait, le temps est aussi un arrangement.
Comme de fêter cette date en particulier, moi par exemple, j'ai commencer ma vie en travaillant à ces date-là. Nous allions nous coucher vers 10 h du soir et à 3 h du matin, il nous fallait être sur le marbre. Oui c'est ainsi que l'on nomme l'établit d'un pâtissier.
Lorsque 10 h du matin arrivait, nous étions trois en moyenne, à enfourcher les vélos à contre-pédalage, pour aller livrer les gâteaux aux bourgeois de Blois.
Une autre époque !
Nous étions 7 apprentis, entre 14 et 17 ans à recevoir des claques dans la gueule et des coups de pieds au cul dès qu'on faisait mal une tâche. on ne se plaignait pas, mais il y a eu quand même 3 tentatives de suicides en 3 ans dont une qui a réussi.
Vous vous imaginez, vous, descendre décrocher le vélo pour faire une livraison et tomber sur votre pote, pendu entre deux vélos, je vous garantis que ça marque !
On va pas commencer l'année sur une note triste.
J'ai comme l'impression d'avoir plombé l'ambiance.
Quand ici, sur terre, tous les noeuds du coeur sont déliés, alors le mortel devient immortel !
Kâthopanishad

vendredi 31 décembre 2010

Bilans, suite...

Je suis retourné au Brésil à la mi-janvier.
Vous le savez, j'aime le Brésil, j'aime au Brésil, mais je me pose une question, pourquoi les brésiliens ont construit des villes sur les endroits les plus escarpés du pays ?
Je l'ai déjà dit, il faut se mettre dans un fauteuil roulant pour se rendre compte de la difficulté de circuler dans les rues de, de... Sao Paulo, par exemple...
Mais je pourrais vous parler de Salvador de Bahia, Belo Horizonte ou Uberlandia. Rio est un cas à part, si on est assez fortuné pour habiter sur le littoral.
Donc, pour moi, pas moyen de piquer ma crise et de décider d'aller faire le tour du pâté de maisons, seul, impossible !
Et puis le fric, bazar, le pognon, c'est qu'il en faut du fric pour vivre dans une ville comme Sao Paulo. Les appartements coûtent cher, car en plus du loyer, proprement dit, il faut rajouter le prix du gardiennage et autres frais, qui font doubler la somme. Moi pauvre petit retraité à roulettes, au bout de trois mois, je suis obligé de lever le pouce...
Pour moi c'est un échec, je ne peux pas m'installer au Brésil.
Dans la vie de tous les jours, ma liberté, c'est ma voiture. Sans ma voiture, je ne peux rien faire. A Paris, elle est mon bureau, parfois ma chambre, c'est dans son habitacle que je reçois.
Pratique et en même temps, je rends service à mes invités qui sont toujours curieux de voir la dextérité avec laquelle je conduis juste avec les mains.
Lorsque je me renseigne, pour acheter une voiture à Sao Paulo, déjà le prix des automatiques est au-dessus des autres voitures, mais surtout, je suis obligé de repasser mon permis de conduire, alors que si j'étais valide, je pourrais obtenir un permis brésilien.
Là, c'est le coup de grâce, car si je baragouine en portugais, d'ailleurs ils disent en m'entendant, que je parle " portignol ", un mélange de portugais et d'espagnol. Impossible de passer rapidement ce fichu permis.
Adieu mes rêves de vie brésilienne !